Overloaded cities
Barcelone et New-York sont vivantes.
Ces villes ne se contentent pas d’offrir un logement et un travail à leurs habitants. Elles ont une âme qui leur est propre. Elles sont vivantes.
New York, « the city that never sleeps » vit en 24h/24, 365 jours pas an ! Et tant mieux pour pouvoir en profiter malgré le décalage horaire…
Sa grande force est la multi culturalité qui reste le carburant premier de cette ville. Un tiers des habitants est né à l’étranger et près de la moitié ne parle pas anglais à la maison… La majorité des habitants n’y fera pas sa vie… Ce qui force la ville à se renouveler en permanence et quand on y est, on veut la vivre à fond. Tout cela s’exprime dans une insouciance et un dynamisme omniprésent.
Ce dynamisme se traduit photographiquement par tous les superlatifs architecturaux ! Et derrière cette liberté d’imagination dans l’architecture se cache des stratégies urbanistiques réfléchies et toujours guidées par… l’argent car à New York, même le ciel est à vendre…
Barcelone l’insouciante respire le soleil, la chanson, la jeunesse, la couleur.
De son histoire millénaire ressort une furieuse envie de se renouveler, une furieuse envie de s’épanouir, la jeunesse y est reine. Elle a beau être la plus ancienne, elle défend ses atouts comme un ado qui veut conquérir le monde.
La vivacité de ces villes m’a inspiré des clichés qui poussent les couleurs dans leurs derniers retranchements (vibrance, refroidissement). Si elles sont guidées par les lumières à New York, les couleurs de Barcelone sont inspirées par Gaudi et ses confrères qui ont offert au soleil catalan des reflets uniques.
D’autres clichés sont visibles dans le livre Overloaded Cities.
Toutes les photographies du site sont disponibles en tirage d’art en édition limitée.